Paul Trenque, MORTEL DESTIN

Se présenter en quelques mots :

Je suis né il y a sept décennies dans un village gersois, en Astarac, vaste territoire du sud du département qui deviendra en 2026 un Parc Naturel Régional.
Après des études générales et scientifiques j’ai exercé mon métier de Géomètre-Expert à Toulouse et mené une vie intense avec mon entreprise et ma trentaine de salariés.
Cartésien de métier, j’ai toujours pris le temps de lire et d’écrire au quotidien avec un soin particulier pour le choix des mots justes et des phrases qui chantent.
En 2019, désormais retraité et rapidement confiné, j’ai entrepris d’écrire un journal que je partageais avec mes amis et une radio locale gersoise, Radio Coteaux, chaque lundi pendant trois ans ; le journal est devenu billet suivant les évènements hebdomadaires puis nouvelles que j’écris encore suivant mon humeur du jour. Mes amis m’encouragent à les publier, je verrai si mon temps libre me le permet car, comme beaucoup de retraité, je suis très occupé et mes actes se sont curieusement ralentis depuis que j’ai du temps.
Après ce premier roman, Mortel Destin, j’ai déjà en tête le second, qui s’appellera Madame en hommage à ma mère, institutrice et véritable hussard de la République dans un petit village gersois où tout le monde l’appelait respectueusement Madame. Mes deux filles qui partageaient les vacances d’été auprès d’elle me le demandent pour figer sur le papier mes tendres souvenirs de cette maman que j’appelais, comme tout le monde, Madame, à l’école.

Qu’est-ce qui vous a inspiré pour réaliser ce livre :

Ce roman est le fruit de deux rencontres ; la première est née du hasard d’une lecture d’un long article dans une revue hebdomadaire sur les plus grandes criminelles françaises où Françoise Trenque, une homonyme, figurait en tête de liste et avait vécu il y a 2 siècles à proximité de mon village natal. Etions-nous donc de la même famille ? La deuxième est le fruit d’une discussion sur ce fait avec un nouvel ami dont j’ignorai son appétence pour la généalogie et sa virtuosité pour dénicher sur Internet une somme d’articles à son sujet, coupures de presse, récits, sacs du procès, archives communales et départementales.
Grâce à ces documents et à mes propres recherches sur sa famille, son village, la vie paysanne et artisanale de l’époque où la campagne gersoise était très peuplée et en pleine mutation je suis entré dans sa vie avec gourmandise.
Mon héroïne, Françoise Trenque, fille d’un charpentier émérite, fut condamnée à être guillotinée Place Royale à Auch le 16 septembre 1829 pour un double parricide et un double fratricide pour cupidité.
Mon roman, basé sur sa vie réelle et supposée par les témoignages écrits de l’époque, décrit cette cousine lointaine comme une révolutionnaire d’une cause féministe avant-gardiste, très éloignée d’un procès en cupidité qui, sous la restauration, cherchait à effacer les droits des femmes qui montraient leurs cornes acérées.

Expérience avec Copy-Média

Le hasard, une nouvelle fois, a bien fait les choses.
Une recherche sur Internet, une information sur Copy-Média, une demande de devis et des réponses rapides qui s’enchainent avec les précieux conseils de Magalie.

Pourquoi chercher ailleurs, même si Canéjan est à 2h de Toulouse ?
Matériellement l’ouvrage est de très bonne qualité comme me l’a dit le libraire auscitain Page à Page et le rendu photographique de la page de couverture est de grande qualité.
Merci Copy-Média pour ses conseils, sa réactivité, sa qualité d’imprimerie et son respect des délais.
Bien entendu, je reviendrai !

Paul Trenque