Présentation de l’auteur François Guillaume


Une chose est certaine, François Guillaume a un parcours assez original. Commerçant pendant une vingtaine d’années, il a, dans cet exercice, proposé une sélection assez atypique allant des littératures de l’imaginaire à l’histoire médiévale, en passant par les contes et légendes des pays celtes, les jeux de rôles, la musique celtique, et il y avait même un coin de sa boutique dédié à de l’épicerie fine de Bretagne, avec chouchenn (hydromel breton), sardines bretonnes et galettes au beurre.
Cette époque est révolue, maintenant il fait de l’infographie, mais surtout, il continue d’écrire des romans.

C’est en 2011 que sort son premier roman « Projet Tau Ceti », l’amorce d’une grande saga qui compte à ce jour 11 volumes publiés, et tous imprimés chez Copy-Média. Une saga de Science-Fiction dans laquelle on y trouve de l’humour, de l’auto-dérision, des clins d’yeux à nos belges et celtiques cultures, de l’action, de la romance, de l’écologie, de l’humanisme, bref, pour paraphraser une belge annonce publicitaire « un peu de tout, comme dans les fromages belges ». Car François Guillaume est belge, comme vous avez pu le comprendre, mais il reconnaît bien entendu la qualité du patrimoine gastronomique français qu’il apprécie en connaisseur. Et dans ses bouquins, il se trouve toujours bien un moment où les personnages qu’il met en scène vont casser la croûte avant d’aller sauver la galaxie !

En juin de cette année, il a publié un nouveau livre, qui se démarque de sa ligne d’écriture. Il a voulu rendre un ultime hommage à un fidèle compagnon poilu qui s’appelait Djeser, du nom d’un grand pharaon de la troisième dynastie de l’Égypte Ancienne. Ce merveilleux toutou fut son compagnon de vie durant, à un mois près, dix-huit ans, et a franchi le Pont de l’Arc-en-Ciel en janvier dernier.
« Quel plus bel hommage, en tant qu’écrivain, que de mettre ma plume au service des mémoires de mon chien. »
Tout est dit.

Je vais maintenant parler à la première personne du singulier. Ce livre, dans lequel j’ai tout donné en mémoire de dix huit années d’affection, de complicité, d’amour, de partage, m’a permis de faire mon deuil d’un merveilleux chien qui fut, tout du long, la personnification de la joie.

Il continue de vivre dans le cœur de ceux qui l’ont connu, mais aussi au travers de ce livre que j’ai voulu très frais, joyeux, candide, même si l’on se doute que le dernier chapitre l’est moins, mais l’épilogue le voit gambader dans les Champs de l’Éternelle Jeunesse, où il a retrouvé plein de vieilles connaissances, et sa petite sœur Elfi qui l’a rejoint deux mois plus tard.

Une rocambolesque épopée canine hors du commun !