MICHEL BULMÉ, l’ancien gendarme devenu écrivain

Né en Avignon, grand voyageur, passionné par la langue espagnole et le droit, Michel Bulmé effectue une carrière dans la Gendarmerie dont une partie en unités de recherches. Après avoir réussi les tests du GIGN tout juste crée, il se blesse dans une compétition de judo contre un canadien et sa carrière prendra un tournant très éclectique. Il aura exercé dans la mythique Gendarmerie de St Tropez avant sa fermeture définitive. Il fera un stage de physique nucléaire parmi une trentaine de gendarmes sélectionnés dans l’hexagone pour servir une brigade nucléaire. L’ancien gendarme a tenu aussi le dernier poste de Gendarmerie des gorges de l’Ardèche à Gaud où il conserve des souvenirs très vivaces avec les principales chaînes de la télévision en reportage. Il finira sa carrière par la gestion tous azimuts (immobilière, personnel, matériel). Il passe avec succès l’examen de traducteur et interprète espagnol dans la Gendarmerie, un canal qui l’irrigue vers le travail des langues écrites. Lorsqu’il quitte l’Armée, il prendra la gestion de plusieurs centres de vacances où il développe de nombreuses activités. Pour rester en contact avec l’Armée, il s’engage dans la réserve opérationnelle où il participe à des cellules d’enquête de haut niveau. Il réussira aussi avec succès l’examen d’inspecteur du permis de conduire où il fera passer en centre d’examen plus de 2000 candidats (sans porter la tenue précise-t-il), c’était une mission ponctuelle pour absorber le retard des cessions en France.
Il s’installe dans le Nord Isère où il trouve son bonheur dans l’écriture. Il embrasse la passion des mots avec enthousiasme qu’il convertit dans une architecture pour réaliser des œuvres policières. Tous les romans sont plein de réalisme et nourris de sources officielles qui explorent les dilemmes qui s’imposent à la société et lèvent le voile sur de nombreuses vérités contemporaines. Michel est sélectionné dans des grands salons de littérature policière en concurrence avec de belles plumes comme Caryl Ferrey, Michel Bussi, Franck Thilliez… Pour l’auteur, l’écriture reste un bol d’encre rempli d’émotion, illumine l’âme et fertilise la culture.

La trilogie ‘L’Œil de Lucifer’ lui a nécessité 4 années de recherche pour faire connaître au grand public le fleuron de la gendarmerie après le GIGN, soit la cellule C3N, spécialisée dans la lutte contre la cybercriminalité. Sur une scène de crime nous trouvons des empreintes digitales ou ADN mais derrière l’écran comment fait-on pour fliquer un individu escroc qui se moque des frontières et des lois ? L’ancien gendarme livre des éléments de réponse avec l’analyse prédictive, comportementale et surtout inforensique. La trilogie s’inspire de faits réels. Ses collègues ont dernièrement décrypté la messagerie EnCrochat utilisée par toutes les organisations mafieuses de la planète !
Michel peut oublier la police numérique et nous faire découvrir aussi du beau terroir, du ‘good life’ qui sent l’odeur de la nature se complait-il à souligner. Son dernier opus ‘ Le Fantôme de la vigne’ inspiré d’après l’œuvre d’Albert Camus ‘Le premier homme’ est un cas vécu dans sa carrière qu’il a traduit dans une belle fiction. D’ores et déjà un beau succès littéraire.
Pour toute commande : mibul385@gmail.com

CHOIX AUTO-EDITION

C’est un choix personnel en phase avec les valeurs de l’auteur pour soutenir la culture auprès des petits commerces et lutter contre la culture marchande des grandes maisons d’édition peu vertueuses à l’égard des normes environnementales. Même si Michel a eu un jour la chance de manger avec une directrice de publication d’une très grande maison d’édition parisienne, il ne partage pas leur politique commerciale. Pourquoi envoyer un kilo de papier par la poste (sa trilogie faisait 750 pages) alors que l’envoi d’un fichier numérique du manuscrit aurait réduit sensiblement l’impact carbone ? Pourquoi commercialiser des œuvres pendant cinq mois et les mettre au pilon par la suite ? Pourquoi s’inscrire dans le greenwashing, normes SGE (sociétal, gouvernance et environnement) et faire tout son contraire ? L’auto-édition permet de responsabiliser l’auteur dans tout le parcours créatif (correction, graphisme, couverture) il est le seul maître à bord pour faire des choix pertinents.

EXPERIENCE AVEC COPY-MEDIA

Avec Copy-Média, c’est comme s’intégrer dans un grand club de foot, l’esprit d’équipe, tous pour un et un pour tous.
Le néophyte ou l’auteur expérimenté profite sans distinction des services et conseils adaptés à chaque projet. Un accompagnement qui encourage à publier des récits qui intéressent un territoire, préserve un patrimoine, une introspection  personnelle… Des thèmes généralistes délaissées souvent par les lignes éditoriales de la grande presse.
Depuis 10 ans, je travaille avec Julia qui m’accompagne dans tous mes projets.
Sans jamais s’être rencontré, je reconnais tout de suite sa voix au bout du fil.
Une voix prévenante, conseillère et toujours attentive. Si sa vie personnelle évolue, j’évolue aussi avec elle. Avec ce temps de crise inflationniste qui pousse le prix du papier vers les sommets, elle apporte toujours CE quelque chose en plus pour nous rassurer, tenir les sillons de l’écriture hors d’eau pour que nous, simple plume, nous ne noyons pas nos âmes mais les plongeons dans des bouillons de culture. En novembre dernier, j’ai sorti mon 5ème roman avec Copy- Média.
Une fidélité qui dure et une proximité récompensée.
Gagnant-gagnant. Je vous l’avais annoncé, une équipe c’est un écosystème !