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… ET SUD OUEST EN PARLE …

Il l’avait promis. Le commissaire Montaigne revient à Bordeaux, avec un serial killer et une énigme sur chaque monument historique de la ville. Un Da Vinci Code local ?.

Cherchez l’énigme. À l’écouter, on pourrait le croire. François Fuentes fait mieux qu’Harlan Coben, dit-il. Il assure être en tête de gondole dans tous les Cultura de la région. Le voilà, au pied de la Porte Cailhau à vous livrer le secret de son dernier bouquin, « mais surtout ne vendez pas la mèche ». Sachant que le premier livre de François Fuentes « Crime à Bordeaux dans un quartier chic » s’est tiré à 10 000 exemplaires, le second « Terreur à Bordeaux » pourrait faire mieux.

«Da Vinci Code» local

Vérification faite auprès de Cultura. Il semblerait que oui, Fuentes soit placé en tête de gondole « mais parce qu’il est un auteur local qui parle de Bordeaux et qu’il se vend très bien. Pour un auteur local. De là à concurrencer Harlan Coben… »

Qui est François Fuentes ? On sait qu’il est retraité d’un boulot qui l’enquiquinait. On sait qu’il a pris la poudre d’escampette avec son épouse, face à la mer, du côté de Saint-Georges-de-Didonne en Charente-Maritime, pour s’autoproclamer « écrivain de pièces de théâtre, de poésie et de polar », à 70 ans. En plus, il ne lâche rien. Il écrit, il édite, il vend, il assure la promotion, le service après-vente et il se vante aussi, tant que faire se peut. Donc « Terreur à Bordeaux » est sorti en janvier, écrit par François Fuentes, édité chez François Fuentes, vendu par lui-même. En ce moment, l’homme traverse le département pour signer son pavé, à un rythme de marathonien. Harlan Coben ni même Fred Vargas ne pourraient le suivre. En plus, toujours selon ses sources, il créé « le buzz ». « C’est vrai, je reçois des e-mails tous les jours, des gens qui veulent avoir les réponses à mes énigmes. Ils s’interrogent devant les monuments que je cite. J’ai écrit le ‘‘Da Vinci Code » bordelais. » Pas moins.

Tueur en série et historien

De fait, dans ce second tome des aventures du commissaire Montaigne, chef de la Criminelle à Bordeaux, tout est vrai, sauf l’histoire, en l’occurrence celle d’un tueur en série qui a l’intention de zigouiller sept personnalités en quinze jours.

Le tueur est un fin historien, un gros malin qui fait tourner le commissaire en bourrique et le conduit de la Flèche Saint-Michel, à la statue de Goya, en passant par le monument aux Girondins, la Grosse Cloche, le cimetière de la Chartreuse, autant de lieux symboliques où il laisse traîner des indices.

« Le polar est un genre qui plaît, et puis, j’ai une plume libre, non formatée. J’essaie de distraire tout en faisant passer l’humanisme dans l’esprit des lumières. » Le sens de la formule fait mouche. « En plus, je cite des cafés, des restos qui existent vraiment. Et les gens y vont, avec mon bouquin. » Alors Monsieur Fuentes, Da Vinci Code ou guide Michelin ? L’énigme reste entière. Pour le savoir, il faudra attendre le troisième tome, il est prévu pour la fin de l’année.

SHOOTING … faites de vos livres des stars…

Il est important de bien promouvoir ses livres, de les afficher sur des sites, des affiches, des flyers, des publicités, … bref du marketing mais sous un angle visuel de qualité.

Nous proposons du shooting, c’est à dire de prendre en photo vos œuvres de manière tout à fait professionnelle afin d’obtenir des photos de qualité et sous de très bons angles afin que vous puissiez vous en servir pour vos supports de vente, le web ou de présentation marketing.

Nous faisons de votre livre un mannequin, une star.

Ici, la prise du dernier livre des éditions Vents Salés … « Le truc vert », en séance shooting par notre graphiste.

N’hésitez pas à contacter notre service commercial pour tout renseignement.

Génération H d’Alexandre Grondeau

 Génération H est le second roman d’Alexandre Grondeau qui est, en dehors de son activité d’écrivain, maître de conférence à l’université Aix-Marseille.

   Il s’intéresse ici à la génération H : de jeunes adultes d’une vingtaine d’années, amateurs de shit, skunk et autres produits à tirer sur des bangs. C’est un roman générationnel, un road trip halluciné au milieu des années 90, à travers des festivals underground.

 Sacha, Jo et leurs amis, feront des rencontrent, ils se laisseront porter par la vie en quête d’un idéal de liberté, oubliant leur avenir le temps d’un été. Occultant le monde extérieur, ils goûteront à la joie de vivre dans une atmosphère enfumée et alcoolisée. Sexe, drogue et musiques underground rythmeront leurs vacances.

   Génération H est un livre musical (une playlist se trouve à la fin du roman), on ressent viscéralement les événements qui se forment devant nos yeux. Se rapprochant de Junk de Melvin Burgess, la joie en plus, Génération H est un livre sur la jeunesse qui consomme du cannabis aussi naturellement que si elle buvait un verre de vin.

    Après les films, les séries télévisées et les albums de musique, la génération H a enfin son roman de référence. A ne pas manquer !

Le livre numérique est-il l’avenir de l’autoédition ?

Une vraie question, les résultats de notre sondage du mois montrent bien que pour l’instant personne n’arrive à trancher. Autant de oui que de non, avec une légère avance pour le non.Les premières tentatives d’autoédition datent de 2001 avec le livre de Stephen King (The Plant) ; pour lui ce fut un échec ! Depuis 2008, l’autoédition a dépassé – en nombres de titres – l’édition traditionnelle aux USA et la tendance est la même pour l’Europe de l’ouest, par contre les volumes imprimés et distribués restent très largement favorables au circuit traditionnel (cf notre article sur les chiffres en France et leurs prévisions).
En France, parmi les écrivains connus, Marc-édouard NABE fut un des premiers à passer le cap en quittant les Editions du Rocher et en créant son propre site en autoédition (visitez son site). Un autre exemple de gros succès en autoédition, imprimé par un de nos confrères d’Orthez à plus de 20 000 exemplaires, le livre de Daniel Schneidermann  » La Crise au Sarkozistan « .
De plus les plateformes d’autoédition se multiplient, Amazon avec Kindle Direct Publishning, Apple avec Ibooks author, Create space racheté par Amazon (encore eux !!!), Kobo avec Kobo writing life,  Barnes & Noble avec PubIt! , bon c’est vrai, beaucoup sont en anglais et pas encore disponible en langue française. Mais ne vous y trompez pas le succès est loin d’être au rendez-vous en y déposant juste votre manuscrit ! Pour la majorité de ces plateformes le but recherché est d’obtenir le plus grand nombre d’auteurs autoédités quelque soit la qualité des ouvrages publiés. Ils valorisent leurs catalogues et dans le nombre il y aura forcément les succès littéraires de demain. Cela ressemble beaucoup au loto en fait…
Et à part le cas d’une œuvre qualitativement exceptionnelle, ou d’être un auteur déjà connu, sans communication autour de votre livre, il ne se vendra pas ! Nous sommes dans un monde connecté, vous devez faire le « buzz » par un moyen ou par un autre, quelque soit le moyen d’ailleurs.
Pour finir sur une note d’optimisme pour nos auteurs Français, sachez que plus d’une dizaine auteurs ont dépassé le million d’ebooks vendus sur la plateforme kindle aux USA (Stieg Larson, James Patterson, Nora Roberts, Charlaine Harris, Lee Child, Suzanne Collins, Michael Conelly, John Locke, Janet Evanovich, Kathryn Stockett, George R.R. Martin, David Baldacci, Stephenie Meyer). La plus connue étant Amanda Hocking, ayant débuté en autoédition, ses livres sont maintenant vendus en librairie dans le monde entier et dans plus de 25 langues différentes. Tout est possible…

 

Comment scanner pour réimprimer ?

Vous voulez scanner de vieilles photos, des aquarelles, des dessins… ? Et évidemment les publier ? Il faut suivre quelques consignes pour être sûr de ne pas recommencer ce travail long et fastidieux… Les mots clefs seront : sources, résolution et conservation.

Tout d’abord, ne croyez pas que vous aurez une qualité identique à l’original… Si la source est un imprimé, il y a eu perte de qualité à la première impression, et une nouvelle perte de qualité au scanner en appliquant un détrammage.

Selon les sources (photo, dessins, écrits, schémas), précisez-le bien sur votre logiciel du scanner… Même chose pour les couleurs vives, pâles, noir et blanc, sépia…
Notez que si vous voulez imprimer en Noir et blanc (Niveaux de gris) et que l’original est en couleurs (attention : le sépia est de la couleur), SCANNEZ en Noir et blanc DIRECTEMENT. Une balance des contrastes se fera automatiquement et ne dégradera pas l’image en passant dans plusieurs logiciels de retouche d’image.

La taille (un timbre-poste, carte postale, A4… ) est très importante pour choisir la résolution. Le minimum est 300 pixels par pouce (DPI ou PPP). Et sélectionnez bien la zone à scanner dans le logiciel (gagne en précision).
Mais le piège est de scanner une petite image que vous voulez réimprimer 3x, 5x plus grande… En effet, si vous scannez une image de 3cm de long à 300 dpi, que vous l’agrandissez jusqu’à 6cm dans votre mise en page, vous perdez la moitié de la qualité et l’image sera floue. Et ainsi de suite.
Dans le but d’agrandir les images, préférez le 600 dpi, voir 800.

Et pour les conserver, enregistrez si possible en .tiff. Le .jpeg est un format de compression qui abîme les images. Attention : vos images seront très lourdes, prévoyez un bon espace de mémoire !
Evidemment, pour certains scans, il faut s’attendre à une retouche sur logiciel (comme Photoshop…).

Bien définir sa cible de communication

Au moment de publier votre livre et de réfléchir sur votre plan de communication, il est crucial de vous poser trois questions : quel est mon lecteur type ? Quels vont être mes premiers acheteurs qui lanceront le bouche à oreille ? Quelle est ma cible de communication ?

A cette dernière question, vous pourriez répondre un éditeur ? Ce qui implique un plan d’action très spécifique, vous toucherez vos éditeurs potentiels  sur des supports et à des moments différents de ceux de vos futurs lecteurs : salons, forums professionnels où à l’épicerie de quartier fréquentée par l’éditeur de vos rêves…. Mais c’est évidemment la cible la plus compliquée, les éditeurs reçoivent plus de 50 000 manuscrits par an.

Même si vous n’écrivez pas pour une « cible », notre objectif est d’en déterminer une pour vos actions de communication sur les réseaux sociaux ou ailleurs… De réfléchir au message que vous souhaitez faire passer pour convaincre de lire votre livre.

Mon objectif est de vous aider à trouver la cible que vous « sentez » le mieux pour optimiser vos ventes en concentrant vos efforts sur les lieux de diffusion les plus pertinents en réfléchissant à quatre questions :

Homme ou Femme ? : Pensez-vous que votre livre va attirer un public plutôt masculin, choisissez de concentrer vos efforts en communication dans des lieux de passage, sur des forums, des blogs, des sites à audience prioritairement masculine (vous avez surement des idées….).

Jeune ou moins jeune ? : L’âge va influer sur les supports de communication que vous allez utiliser… Plus on est jeune, plus on consomme de médias digitaux, plus on passe du temps sur Twitter et les réseaux sociaux, il ne s’agit plus de changer les règles du jeu, il faut s’y adapter et adopter une tactique plus opportuniste.

Ruraux ou Urbains ? : 80% de la population française habite dans des villes de plus de 20.000 habitants… Ces derniers passent environ 1h30 par jour dans les transports en commun et 55% des voyageurs réguliers lisent systématiquement un livre pendant leur trajet (étude TNS Sofres Juin 2007), ce qui peut être une opportunité. Les journées et la consommation des médias sont forcément différents entre les ruraux et les citadins.

Votre livre en Une phrase ? : C’est important de résumer en peu de mots, c’est une  » accroche commerciale « , une sorte de résumé inachevé dont l’objectif est de donner envie d’acheter.

La communication ne fait pas tout bien évidemment mais elle y contribue, mettez vous 5 minutes à la place des lecteurs que vous voulez séduire, vous remarquerez rapidement qu’ils ont le choix entre des milliers de solutions… L’important pour vous est de rendre votre choix évident.