Quel a été ton parcours avant d’entrer chez Copy-Média?
Après l’obtention d’un bac STI génie électronique puis d’un BTS assistance technique d’ingénieur, j’ai changé de voie pour des études de monteuse audiovisuelle sur Paris. Après l’obtention de ce diplôme je suis revenue dans la région Bordelaise où il fût très difficile de trouver un métier en rapport avec l’audiovisuel.
Après 1 an à travailler dans la restauration rapide de pâtes et un court passage par la case chômage, j’ai commencé à travailler en intérim dans la partie magasin de Copy-Média en tant que vendeuse.
Parle-nous de ton job au sein de l’entreprise.
Mon rôle consiste dans un premier temps à vérifier la conformité des fichiers des clients à la fois techniquement et commercialement, ensuite de les mettre en conformité pour l’impression.
Je réalise également quelques créations de couverture.
Pourquoi avoir choisi l’imprimerie ?
Je ne connaissais pas le milieu de l’imprimerie avant d’y entrer mais j’ai saisi l’opportunité qui se présentait à moi.
J’ai été recruté en tant que vendeuse lorsque l’imprimerie tenait en parallèle un magasin de photocopies en libre-service. Nous étions deux dans ce magasin : une commerciale et moi-même. En plus de mon rôle de vendeuse je devais effectuer la PAO de ses commandes (cartes de visite, flyers, thèses…) et l’impression grand format (affiches, adhésifs, bâches…).
Grâce à cela j’ai ainsi pu me former et apprendre le métier qui est le mien aujourd’hui. A la fermeture du magasin, j’ai alors intégré le service prépresse.
Quel est ton passe-temps favori ?
J’adore regarder des séries télé pour décompresser, mais avant tout, ce que je préfère c’est passer du temps avec mes 2 enfants.
Une anecdote à partager avec nous
J’ai effectué un peu tous les postes au sein de l’entreprise : vendeuse, assistante de la commerciale du magasin, commerciale lors de son congé maternité, et j’ai même travaillé au sein de l’atelier lorsque l’on faisait de l’impression grand format.
Editions LC, Copy-Média nous accompagne depuis plus de 10 ans
Voyage autour de l’œuvre – Chant de l’aube
L’œuvre
Chant de l’aube, une vision nouvelle de la poésie, sous une forme originale : un dialogue, de nombreuses illustrations, une approche mystérieuse.
Les différents angles de lecture permettent à tous styles de publics adultes – et pas seulement aux férus de poésie – de trouver un chemin pour voyager dans l’œuvre.
De nombreuses images s’offrent directement à la sensibilité ; la sensualité embarque le lecteur ; et une dimension spirituelle invite à la réflexion.
Tissage poétique entre les mots, les couleurs et les sens.
Un hymne à la beauté, la douceur, la passion.
Les auteurs
Le texte est de Phanelle,
« amoureuse des lettres, mélodies et parfums, chercheuse de rêves »,
diplômée de plusieurs Licences littéraires
Les illustrations sont de Loucanaor,
« adorateur des couleurs, lignes et symboles, chercheur de lumière »,
L’Union :
« Ce livre revendique un genre littéraire original, une alchimie
poétique, rédigée en prose. Il s’adresse à un lectorat adulte tout en
étant facile d’accès. On se trouve imprégné dans une sorte de
discussion spirituelle qui interpelle. La nature immaculée s’inscrit au
cœur de cette histoire. Elle sublime un univers onirique, dans des
décors nourris de beauté. Dans un style propre de l’auteure, le tout
est construit, avec précision. Des mots et des images, à forte
musicalité, des enchaînements rythmés mêlent le langage et l’image,
l’harmonie et la passion. »
Nous avons connu COPY-MEDIA grâce à un éditeur de Soissons (02), qui nous a donné de bons conseils.
Comme nous étions complètement novices dans le domaine de l’édition, Pierre Picard nous a accompagnés dans toutes les démarches nécessaires. Nous avons apprécié le temps qu’il nous a accordé et la promptitude de ses réponses à nos demandes.
Nous avons pu choisir le papier et son grammage, la couverture et la dorure grâce aux échantillons que nous avons reçus juste après le premier contact.
Les différents devis se sont adaptés à l’évolution de nos choix.
Notre ouvrage comportant de nombreuses illustrations, nous avons été reçus par l’équipe de la PAO, qui a scanné les œuvres et vérifié la validité de la mise en page du texte. Guillaume a fait un travail remarquable de restitution des images – pas toujours faciles à reproduire (crayon de papier, aquarelle, sanguine, acrylique) -, ainsi que de calque pour la dorure.
Pierre Picard nous a chaleureusement accueillis et fait visiter l’imprimerie, nous partageant ainsi la passion de son métier.
Le BAT papier a été très utile, nous permettant de nous rendre compte du résultat final. Un minuscule décalage de la couverture a été rectifié pour le tirage et le résultat nous convient parfaitement.
Les livres ont été livrés rapidement, bien emballés et en parfait état.
Nous avons en projet un second livre, un conte poétique pour enfants et nous envisageons bien évidemment de faire à nouveau confiance à COPY-MEDIA.
Tél : 06.60.66.77.04
le.tournesol.editions@gmail.com
editionsletournesol.com
https://editionsletournesol.wixsite.com/website
Editions Le Tournesol – 6 rue de Montcornet – 02340 Chaourse
Interview en compagnie de l’écrivain Laurent SCOTTI
COPY-MEDIA, soucieuse du développement culturel est heureuse de compter parmi ses clients un nouvel auteur de roman. Ce jeune écrivain d’une cinquantaine légèrement grisonnante, vient de terminer son 1er roman. Laurent SCOTTI était invité il y a quelques jours par Julia POULY pour une interview en visio afin d’évoquer son roman « La séparation de corps ».
JP- 300 pages pour un premier roman, comment l’idée d’écrire a-t-elle germé?
LS- Eh bien, en fait c’est une idée que j’avais un peu laissé tomber. J’écrivais des nouvelles quand j’avais 20 ans, puis j’ai oublié de continuer avec les trépidations de la vie. En 2019, je faisais un tour du monde, une amie m’a dit : « tu devrais fait un blog de voyage, de la sorte nous pourrions suivre tes journées de voyage à distance ». C’est comme ça que le plaisir d’écrire m’est revenu.
JP- vous voulez dire que quand vous étiez au Chili ou à l’Ile de Pâques ou à Tahiti ou en NZ, vous faisiez des résumés de voyages en direct sur le net ?
LS- oui tout à fait, en fait je me suis pris au jeu, c’était très agréable de raconter mes journées. J’en profitais pour présenter ce qui m’entourait mais surtout, je décrivais ma façon de vivre les choses, souvent avec une touche d’humour, de dérision.
JP- et votre blog existe toujours ? Il a du succès ?
LS- oui, il est disponible facilement, il suffit de taper sur Google « les éditions de la Fourberie ». J’en ai profité pour y adjoindre par la suite des articles sur Dinard, Saint Lunaire et même des articles sur des réflexions plus large comme « la courbe du bonheur » ou « la téléportation »,« le dernier confinement » pour n’en citer que trois. En moins de deux ans c’est plus de 13000 visiteurs sur le site, ça a l’air de plaire.
JP- et comment passez-vous de cette expérience à un livre, un vrai roman, une histoire qui emmène les lecteurs page après page ?
LS- eh bien paradoxalement assez facilement, en fait j’avais commis pour me faire plaisir une nouvelle de 20 pages environ en me disant qu’il fallait que j’explore autre chose. Ma voisine à laquelle je venais de la soumettre, me dit en souriant :« ce n’est pas une nouvelle, c’est nul ! Une nouvelle ce n’est qu’une page ou deux, alors soit tu réduis le format soit tu écris un roman ».
JP- elle vous avait légèrement bousculé peut-être ?
LS- tout à fait, elle me lançait un défi clairement ou plus exactement elle agissait de façon plus subtile, elle m’obligeait à me lancer à moi ce même défi ce qui était plus insidieux voire plus malin.
JP- Défi de taille effectivement que vous avez relevé si j’en juge par votre roman que je tiens en main, comment vous êtes-vous lancé dans l’aventure ?
LS- eh bien en fait, j’avais un avantage, je ne dors pas beaucoup la nuit aussi j’avais du temps au calme pour y travailler. J’ai repris mes 20 pages et les ai travaillées et encore travaillées afin de trouver un chapitre 3, puis le 4 et j’ai bossé et encore bossé… vous connaissez la citation de Boileau : « 100 fois sur le métier, remettez votre ouvrage … »
JP- vous avez fait une sorte de plan pour le déroulement de l’histoire ?
LS- oui et non, je savais comment le roman se terminait, j’avais décidé rapidement des grandes lignes et des personnages.
JP- et alors, vous écriviez toutes les nuits ?
LS- presque en effet, les choses avançaient raisonnablement page par page, chapitre par chapitre. Ma voisine lisait, corrigeait les coquilles et réclamait à corps et à cris le chapitre suivant ! Elle piaffait et grattait du sabot !
JP- ah vous aviez la pression alors ?
LS- oui c’est presque ça, à peine avait-elle lu un chapitre qu’elle réclamait la suite de l’histoire, c’était presque devenu un jeu, le jeu du « rendez-vous de lecture du chapitre suivant » et ce une ou deux fois par semaine quand j’étais inspiré.
LP- et alors, combien de temps cela vous a-t-il pris pour écrire tous ces chapitres ?
LS- eh bien, en fait, les choses allaient assez bien. J’y pensais à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, je prenais des notes, corrigeais, améliorais, faisais évoluer tout ça dans ma tête et mettais en forme quand le silence et le noir de la nuit m’entouraient. La nuit est parfaite pour cet exercice quand tout autour de vous, règnent le calme et l’ombre.
JP- à vous écouter cela semblait presque facile ?
LS- oh non ! J’avais l’impression de me vider à chaque fois, un peu comme si, alors que mes doigts couraient sur le clavier, mon énergie s’écoulait au travers de mes mains.
JP- vous qui habitez au bord de la mer, vous voulez dire que vous aviez un cap à tenir et que la drisse de grand-voile vous brûlait les doigts sous la puissance du vent pour prendre une analogie marine ?
LS- oui un peu, et pour continuer sur le même thème, il me fallait savoir quand sortir le spi pour jouer avec les vents de l’inspiration et gonfler la voilure, et pour paraphraser le chanteur, ce n’est pas l’homme qui prend la mer, mais la mer qui influe les choix du romancier.
JP- une partie du roman se passe à Saint Lunaire. Vous avez donc troqué votre costume contre des docksides et un vieux ciré jaune durant le temps de l’écriture, une dernière question, que peut-on vous souhaiter ?
LS- eh bien… comme vous avez compris j’ai créé une société d’éditions, les « Editions de la Fourberie », aussi le mieux qui puisse m’arriver est de vendre de nombreux exemplaires de mon roman et qu’il plaise à nombre de lecteurs.
Quelques commentaires des lecteurs sur le roman:
Valérie de Rennes :
« L’intelligence pétillante était presque perturbante au début … et puis j’ai ri, j’ai souri, j’ai eu les larmes aux yeux, j’ai eu de l’empathie. J’aime bien me sentir vivante »
Marielle de St-Lunaire :
« Plutôt déstabilisée par la puissance de l’histoire dans le bon sens comme dans le pire…
J’ai ressenti beaucoup de plaisir à parcourir ce roman, cette envie toujours d’en découvrir plus à chaque page, le style, l’humour, les émotions et les relations humaines… tellement authentiques. »
Jacques de Rouen :
« Vraiment chapeau ! j’ai mis quelques pages à me mettre dans l’histoire, après j’ai été pris par le style, il semble que ce soit bien le style de l’auteur… il parait que le style c’est l’homme. Il y a des passages que j’ai particulièrement aimé, la chasse aux champignons, la Sicile j’ai aimé aussi les personnages et cette façon de les rendre attachants. Félicitations, il y a un beau boulot, le résultat est vraiment bien ! »
Dominique de Nice :
« J’ai dévoré le roman et beaucoup apprécié les différentes atmosphères et époques de vie du héros. J’ai parfois eu le cœur serré. Bravo pour ce coup de maître ! »
Pour COMMANDER le roman « LA SEPARATION DE CORPS – de Laurent Scotti, achetez-le en ligne sur :
Je suis de Haute Savoie plus précisément de la vallée d’Abondance berceau du fromage d’Abondance.
Je travaille comme pisteur secouriste à l’année dans la station de Châtel.
Je suis surtout un collectionneur, passionné de l’histoire de ma vallée et celle de mon village Châtel. Je
« chasse » tout ce qui touche à ma vallée et à la frontière avec la Suisse voisine et le développement
touristique lancé depuis les années 50.
Pourquoi j’ai écrit ce livre ?
J’ai écrit ce premier ouvrage grâce à l’achat aux enchères d’un album d’une famille venue en vacances
dans le village Suisse de Morgins en 1895. Par chance ces voyageurs de la fin du XIXème se sont
rendu un beau jour en direction de notre vallée pour y visiter l’Abbaye d’Abondance qui date
du XIème siècle et qui était déjà classée monument historique, premier de Haute Savoie à avoir reçu
ce label… Evidement sur le chemin ce jour-là ils ont fait pas mal de photos de nos villages… Ce sont les plus
vieilles photos connues de Châtel, La Chapelle d’Abondance, et Abondance. D’où mon idée de les faire
partager au plus grand nombre. J’y ai donc inventé une histoire que j’ai romancée afin de faire voir
ces photos, par la même occasion je n’ai pas manqué de placer bon nombre d’anecdotes que les
anciens du village m’avaient exposées.
Nouveau projet ?
J’ai déjà écrit la suite de l’histoire cette fois-ci ce sera en 1938 et en hiver que mes personnages vont
évoluer dans les quatre villages. Sortie prévue pour les fêtes de fin d’année.
Mon expérience avec Copy-Média :
Alors ce fut par le plus grand des hasards que j’ai connu Copy-Média…
Au début, une fois mon récit terminé, j’ai voulu contacter une imprimerie Thononaise qui
apparemment avait fermé définitivement au printemps dernier…
Je me suis donc tourné vers internet en tapant « imprimerie » au niveau national !
Et la première vers laquelle j’ai appelé fut celle de monsieur Picard. La première fois nous avons
échangé simplement, je lui ai tout expliqué au sujet de mon projet et sur le fait que je ne connaissais
rien aux livres et à l’impression… Eh bien il a été là, le point fort de cette entreprise :
Il a su répondre à mes attentes, à mes nombreuses questions. Les différents interlocuteurs que j’ai
pu avoir au téléphone ont tous fait preuve de patience et de gentillesse. Vraiment je recommanderai
autour de moi cette équipe, qui sait faire preuve de conseils et d’un professionnalisme qui rassure le
client novice que j’étais.
Un grand MERCI à Pierre et à Béatrice sans qui je ne serai pas arrivé à faire mon premier livre qui est
pour le moment un succès.
L’avis de notre graphiste Béatrice :
Après un échange avec M. Vuilloud pour qu’il m’explique son projet de livre et ses idées pour la couverture, avec l’appui d’une pré-maquette, j’ai réalisé la couverture souple pour l’édition « normale » de ce livre. Les points à respecter étaient de prendre une des photos de sa collection en 1ère de couverture ainsi qu’un appareil photo, et une touche de vert pour marier le reste. Après quelques recherches, j’ai inséré un cadre autour des photos afin de faire ressortir le côté ancien ; une police manuscrite pour rehausser l’aspect mémoire ; et un fond vert avec les montagnes en dessin pour symboliser les Alpes.
Cette couverture a été déclinée pour une version « luxe » en contrecollé (couverture rigide) pour un tirage limité et numéroté. Le vernis a été conçu avec Photoshop pour créer du relief sur les détails de l’appareil photo et des photos ; ainsi que sur les montagnes avec Illustrator. La dorure a été placée sur le titre en 1èreet 4ème de couverture pour accentuer le côté « luxe » du produit.
L’intérieur a été mis en conformité. Les photos étaient au bord du format fini sans les fonds perdus . Elles étaient également de moyenne définition, c’était ennuyeux sachant que toutes ces photos, datant d’une autre époque, sont uniques et rares. Nous avons donc convenu de ne pas toucher au texte mais de remplacer les photos. Je les ai retouchées, afin de les améliorer tant bien en luminosité qu’en saturation, puis j’ai positionné ces photos en respectant la disposition du texte et en les agrandissant, tout en rajoutant les fonds perdus. C’est un exercice délicat à effectuer sur pdf, mais qui embellit incontestablement le livre.
Afin d’aider l’auteur à promouvoir la sortie de son livre, une affiche a été créée en reprenant les valeurs de la couverture, et pourra être installée dans chaque commerce le proposant.
C’était un réel plaisir de communiquer et travailler avec M. Vuilloud. On sent qu’il est passionné par le vécu des personnes de sa région natale.
Nouveau site internet pour International Headhunting
Ce mois-ci a vu le lancement du nouveau site internet de International Headhunting. L’interface a été complètement refaite avec un nouveau design, des images plus grandes et une meilleure expérience utilisateur.
Nous avons créé en collaboration avec notre partenaire Suisse Axio Communication le site de International Headhunting basé à Lausanne.
Objectifs pour notre Studio:
– Proposer une image moderne et dynamique
– Rendre le site Responsiv design (qui s’adapte aux écrans des téléphones, tablettes…)
– Accroître la visibilité, le référencement naturel
– Créer une plateforme multi-langue
– Faciliter la gestion quotidienne du site
– Installer des outils de statistiques: Google Analytics
Développée sur WordPress, cette nouvelle version du site permet à notre client d’avoir un design modulaire et ergonomique.