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C’est un choix et une réflexion à ne pas prendre à la légère.

Vous devez impérativement y penser dès le départ car si vous démarrez une mise en page sur un format qui ne conviendra pas au final, vous devrez tout refaire ; nous voyons cela régulièrement et c’est une énorme perte de temps. Parlez-en avec votre attaché commercial avant de vous lancer dans la mise en forme de votre œuvre.

Les petits formats comme le A5, le 11×18, le 16×24 (en 4 poses) sont les plus économiques car ils sont imposés 4 fois au lieu du format A4 par exemple qui lui ne le sera qu’en 2 fois.

Il est certain que le format le plus rentable est le A5 (14.85x21cm) il est le plus utilisé pour le roman, la poésie, les autobiographies ; vient ensuite le format 16×24 qui lui convient bien pour du livre plus technique.

… En bref il faut en parler avec votre imprimeur avant de vous lancer dans une mise en page ; certains conseils supplémentaires vous seront alors donnés si par exemple vous comptez insérer des pages couleur dans du noir et blanc ou encore trouver des formats intermédiaires afin de rester dans les limites du numérique et sur un maximum d’imposition pour rester sur un moindre coût.

N’oubliez pas que vous pouvez également penser à imprimer des formats en paysage, mais là attention au numérique nous serons limités à très peu de choix sans tomber dans l’impression offset de la couverture et augmenter les coûts.

Le coût d’impression de votre livre est dépendant du choix du format.

Voici le tout dernier manuel de Claire et Damien Gautier pour vous aider à structurer une mise en page originale.

Ce livre de référence donne au lecteur des outils pratiques en décrivant précisément les paramètres à l’œuvre dans le travail de mise en page. Il présente ainsi les fondamentaux du métier, dynamisme, visibilité/lisibilité… tout en les confrontant une vaste sélection de travaux de graphistes contemporains. Mise en page(s), etc. explore tous les aspects de la composition d’un livre, d’une affiche ou d’un document promotionnel : de l’élaboration des grilles en passant par l’utilisation des couleurs et des caractères et des illustrations. Des schémas commentés expliquent les termes techniques.

Claire Gautier est enseignante à l’École supérieure de design Rhône-Alpes. Damien Gautier est graphiste, typographe, éditeur et enseignant aux Beaux-Arts de Lyon.

En parcourant le Web, j’ai atterri sur un site mettant en valeurs la mise en page.
Je voudrai me concentrer sur Adobe Indesign, que vous êtes de plus en plus à utiliser.

C’est un logiciel fascinant, pouvant personnaliser les gabarits, format, graphisme et typographie. Evidemment, c’est exigeant et requiert des connaissances techniques et logicielles.

Voici le site : SITE (cliquez sur ce lien).

Vous verrez ainsi comment mettre en place les notes en bas de pages, les enchaînements de blocs-textes, mais aussi la lecture-écran comme la création d’un ePub.

Si vous allez sur la page d’accueil de ce SITE, vous allez découvrir d’autres trésors de mise en page : les fonds perdus, la typographie, Word…

Bonne chasse aux trésors !

Parfois, l’écrivain sait ce qu’il veut mais n’a pas forcément le vocabulaire associé pour trouver les bons outils. Beaucoup de sites vous proposent des glossaires ou des vidéos tutorielles, selon le logiciel que vous utilisez.
Par exemple, savez-vous ce qu’est l’habillage ? ou un interlignage ?
Parfois, cela fait la différence d’introduire une astuce dans votre mise en page…