Diabolique le dit : il y va ici du destin et de ses perversions, du symbolique non comme ordre mais comme geste en sa maladresse et en sa dispersion, soit du destinal tel que l’expérience freudienne s’y est, comme tant d’autres, cassé les dents. Descente musaïque sur le pas de Dante et de Virgile, là où le soleil se tait, là où s’entretiennent dissonance technique et l’au-delà d’une clinique.
Merci à Pauline et Tristan pour leur efficacité. Car mon livre destiné au monde entier, vendu par Amazon.com, est un pari impossible : 1136 pages, 400 illustrations, deux volumes en cinq langues. À éditer puis… à ex...