Petite société indépendante en nom propre, AMT fait le lien entre le nom officiel (Alain MineT) et la petite structure éditoriale créée pour ses besoins personnels (ArcheTyp), ainsi que pour des coups de cœur d’auteur(e) qu’il pourrait avoir. Alain Minet, encouragé par sa petite fille travaillant dans une maison d’édition de la Côte d’Azur, a appris tout ce qu’il fallait faire et ne pas faire pour obtenir un travail sérieux et de qualité. C’est ainsi, qu’en collaboration avec une correctrice, une relectrice, trois béta-lectrices et Copy-Média, AMT ArcheTyp publie des ouvrages de qualité. Il a également créé un petit journal d’information gratuit fort apprécié, mettant en avant des auteurs de la région Nord Pas-de-Calais et assure également sa propre diffusion. Il a formé un petit groupe afin d’organiser quelques soirées littéraires entre auteur(e)s et assurer la promotion de leurs œuvres, et possède un site internet.
Qu’est ce qui vous a poussé à sortir votre/vos livres ?
J’exerçais mon métier dans le milieu pénitentiaire, autant vous dire que cela n’était pas rose tous les jours. L’envie d’écrire existe depuis très longtemps. Quand je fréquentais le pensionnat d’Estaimpuis , je griffonnais des histoires sur des demi-feuilles de papier que je faisais lire à des copains, peut-être pour m’évader des contraintes dont j’étais la cible. On m’avait privé de ma chorale sans raison, moi qui aimait énormément chanter. (Je faisais parti de la chorale de l’Institution St Pierre de Lille les années précédentes, j’étais Soprano).
J’ai fait plusieurs métiers avant d’entrer dans la fonction publique. Tout ceci pour vous dire que d’innombrables histoires (vraies) fourmillaient dans ma petite caboche. En quittant l’administration pénitentiaire pour prendre ma retraite (?), l’objectif dans mon premier livre était de mettre en valeur le métier (très difficile) de surveillant pénitentiaire. Il n’était pas question pour moi de mettre les pieds sous la table et les fesses dans un fauteuil en regardant la télé. Toujours très actif, j’ai trouvé dans l’écriture un exutoire à toutes mes envies quarantenaires. J’ai donc commencé mon premier roman en 2001. Suspendu pour une cause familiale, je m’y suis remis en 2019, non sans avoir rédigé 20 numéros de quarante-huit pages d’histoires et de généalogie entre les deux dates et sorti cinq ouvrages de références généalogiques. Écrire c’est très bien, mais si c’est pour laisser traîner le manuscrit dans le fond d’un tiroir, dites-moi où en est l’intérêt.
Et j’ai toujours plein d’idées dont les sources sont multiples : articles de journaux, revues scientifiques, livres d’étude (biblique, artistiques, scientifiques, historiques, ésotériques, …) conversations, observation, archives départementales, etc… Il y a toujours, dans mes romans une bonne base de réalité.
Quel matériel avez-vous utilisé pour la conception de votre livre ?
Pour l’élaboration de mes livres, je travaille avec un logiciel qui a disparu vers les années 2016 (très performant et très abordable pour l’époque). Le problème, c’est qu’avec les mises à jour de Windows, le logiciel s’est mis à faire des erreurs. J’ai donc, à la seule fin d’écriture, monté un ordinateur avec une version ancienne qui n’est jamais relié à internet donc pas de mise à jour, et c’est très bien comme ça. Il s’agit de Page Plus X9, un logiciel de PAO de Serif maintes fois primé qui permet de créer, publier et partager des projets, de PDF remarquables, de diaporamas PDF, de tableaux/diagrammes, d’eBooks modernes ou via une page Web. Il donne une publication de qualité professionnelle. Le Caneton Mutin est élaboré avec ce logiciel.
Avez-vous de nouveaux/futurs projets ?
Oui, bien évidemment. La sortie ce mois-ci de mon petit dernier, L’Enfant des Étoiles. Je peux même vous citer l’avis personnel de la fiche de lecture d’une béta‑lectrice, Amélie L : « Ce roman a été une aventure au fur et à mesure des découvertes d’Alexia. Le personnage de Mathis est très touchant. Ce genre de roman ne m’est pas familier cependant ce fut une très belle découverte. »
Je vous en donne la quatrième de couverture rédigée par la correctrice également béta-lectrice, Yasmine D : « A 24 ans, Alexia découvre qu’elle hérite d’un manoir dans la campagne de l’Arbois. Cette demeure, léguée par ses parents biologiques qu’elle n’a jamais connus, recèle bien des secrets sur ses origines… Elle sera le point de départ d’une aventure initiatique qui mènera Alexia au-delà de tout ce qu’elle pensait savoir sur notre monde… »
De retour dans le Nord, ses rencontres avec Mathis et Camille sauront-elles lui apporter les réponses à toutes ses questions ?
Avec ce sixième roman, Alain Minet nous conduit une fois de plus sur des chemins inattendus et poursuit ses réflexions sur les limites du monde tel que nous le percevons. Suivez le dans cette nouvelle aventure afin de percer le secret de l’Enfant des Étoiles…
Et pour celles et ceux qui me le précommande avant le 20 novembre, je leur offre une photo 15×10 de la première de couverture, un exemplaire numéroté avec le cachet sec de l’édition originale sur la page de garde, et bien entendu la dédicace au prénom choisi par le lecteur. C’est sur www.archetyp.fr, mon site de promotion.
Qu’est ce qui vous plait dans le service Copy-Média ?
Ah ! Copy-Média… C’est une découverte qui remonte à 2021. Le contact chaleureux avec les personnes de la société. C’est ce qui m’a le plus marqué au premier abord. Mais ensuite, j’ai été surpris par le suivi du livre. La rapidité du service, la qualité et le professionnalisme de mes correspondants m’ont totalement convaincu. Je suis auteur, mais aussi éditeur par choix personnel (n’est-on pas mieux servi que par soi-même) et dans ce cas faire confiance à son partenaire est primordial. On ne quitte pas une équipe solidaire. Les prix sont compétitifs, la qualité des ouvrages au top et systématiquement, je parle de vous à chaque fois que j’en ai l’occasion lors de salons du livre. J’y ai rencontré, parfois, l’un de vos clients, très content de vos services. J’ai été jusqu’à mettre votre logo sur l’un de mes kakémonos parce que j’étais très satisfait de Copy-Média.
Pourquoi choisir d’imprimer en France plutôt qu’à l’étranger parfois moins cher ?
Je n’ai pas rencontré le même service de communication. Une expérience malheureuse m’a fait rechercher un autre imprimeur en 2021. J’ai rencontré un auteur qui avait omis de mettre son nom sur la couverture, et son livre a été imprimé tel quel. Je sais que si cela m’arrivait, je recevrais un appel téléphonique de vos services pour me demander si c’est volontaire ou un oubli. C’est là toute la différence Copy-Média.