Ce roman est une fiction qui aurait pu se passer dans les années 60. Robert, ouvrier agricole de vingt-deux ans, raconte son village, sa famille, son travail, ses amours. Survient un événement cosmique. Un nuage météorique frappe la planète et les conséquences de ce phénomène, apparemment anodin, évolue aussi lentement que s’écoule la vie paysanne. Le mal s’étend comme la gangrène dans un membre malade. Et puis, tout s’accélère pour finalement tourner au cauchemar. On l’aura compris. Cette oeuvre est une allégorie sur les réactions de l’humain face à une catastrophe qui le dépasse : la solidarité dans les microcosmes communautaires, la rapacité des profiteurs, le sauve-qui-peut et le repli sur soi…
C’est les yeux fermés que je me suis adressée à Copy-media pour avoir à maintes reprises comparé sur des salons du livre la qualité des ouvrages proposés. Pauline Guillou a pris le relais d’Elodie pour concrétiser m...