Vous voulez scanner de vieilles photos, des aquarelles, des dessins… ? Et évidemment les publier ? Il faut suivre quelques consignes pour être sûr de ne pas recommencer ce travail long et fastidieux… Les mots clefs seront : sources, résolution et conservation.
Tout d’abord, ne croyez pas que vous aurez une qualité identique à l’original… Si la source est un imprimé, il y a eu perte de qualité à la première impression, et une nouvelle perte de qualité au scanner en appliquant un détrammage.
Selon les sources (photo, dessins, écrits, schémas), précisez-le bien sur votre logiciel du scanner… Même chose pour les couleurs vives, pâles, noir et blanc, sépia…
Notez que si vous voulez imprimer en Noir et blanc (Niveaux de gris) et que l’original est en couleurs (attention : le sépia est de la couleur), SCANNEZ en Noir et blanc DIRECTEMENT. Une balance des contrastes se fera automatiquement et ne dégradera pas l’image en passant dans plusieurs logiciels de retouche d’image.
La taille (un timbre-poste, carte postale, A4… ) est très importante pour choisir la résolution. Le minimum est 300 pixels par pouce (DPI ou PPP). Et sélectionnez bien la zone à scanner dans le logiciel (gagne en précision).
Mais le piège est de scanner une petite image que vous voulez réimprimer 3x, 5x plus grande… En effet, si vous scannez une image de 3cm de long à 300 dpi, que vous l’agrandissez jusqu’à 6cm dans votre mise en page, vous perdez la moitié de la qualité et l’image sera floue. Et ainsi de suite.
Dans le but d’agrandir les images, préférez le 600 dpi, voir 800.
Et pour les conserver, enregistrez si possible en .tiff. Le .jpeg est un format de compression qui abîme les images. Attention : vos images seront très lourdes, prévoyez un bon espace de mémoire !
Evidemment, pour certains scans, il faut s’attendre à une retouche sur logiciel (comme Photoshop…).
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