À l’arrière, tout reste calme, à part, bien sûr, comme toujours, ces animaux bizarres voire étrangoîdes en costard cravate à la gueule souquée qui gesticulent difficilement parmi les poubelles éparpillées par-ci et par-là, comme-ci et comme-ça, se faisant une place entre leurs relevés de comptes précaires et autres pap’rasseries zadministratives, maintenant, et depuis peu, inutiles et obsolètes, croupissantes et putréfiées.
Mon livre « l’Envol du poisson » s’est trés bien envolé, si jose dire, et je me rends compte aujourd’hui que j’ai oublié de vous remercier et de vous féliciter pour votre travail de même que ...