Ma passion pour les mots assemblés qui forment des images et donnent vie à des êtres imaginaires m’a conduite à écrire pour Gohrmicia et Duist… La prophétie des deux lunes de Belten m’a aidée à entrevoir l’avenir qui était tracé pour eux depuis deux mille ans… Je les ai laissés seuls pour effectuer le périple qui les a conduits jusqu’au fond de leurs âmes, approchant les ténèbres pour mieux les repousser, défiant l’audace d’un immortel aux desseins inhumains. Ma confiance en eux a été sans retenue… Leurs sentiments sublimés les ont élevés plus haut que nul être ne pourrait l’imaginer, pour que s’accomplisse la Prophétie dont l’issue n’est pas écrite…
» Je déteste les proverbes. Mais pour une fois, l’un d’entre eux s’est révélé juste : « La valeur n’attends pas le nombre des années » Pierre Picard a su s’entourer d’une équipe ...