Diabolique le dit : il y va ici du destin et de ses perversions, du symbolique non comme ordre mais comme geste en sa maladresse et en sa dispersion, soit du destinal tel que l’expérience freudienne s’y est, comme tant d’autres, cassé les dents. Descente musaïque sur le pas de Dante et de Virgile, là où le soleil se tait, là où s’entretiennent dissonance technique et l’au-delà d’une clinique.
En me projetant dans l’aventure qu’est la rédaction d’un premier ouvrage, je m’attendais à devoir franchir quelques obstacles, le principal étant la méconnaissance du monde de l’édition...