L’homme est traqué. L’homme joue du blues chaque soir dans un obscur bar de la rue des Martyrs à Limoges. Lorsqu’il dérive vers son hôtem, au milieu de la nuit, il lui arrive de dialoguer avec des clochards et autres esprits égarés. Il lui arrive de s’effondrer sur les pavés des ruelles antique et de s’endormir, ivre ou épuisé. Il lui arrive aussi de ne jouer sur scène que pour une femme qu’il semble être le seul à voir. Mais l’homme est traqué. Pas par un tueur. Ni pas un flic. Quelque chose comme des ombres.
Je ne veux pas pommader COPY-MEDIA mais disons simplement que pour une société française, elle travaille comme on souhaiterait que travaille une entreprise suisse. Rigueur, qualité et prix sont furent les trois cri...