160 x 240 mm - Brillant

Offset blanc 80 gr

Format :
Couverture : Impression quadrie recto seul
Papier de couvertures : Carte couchée satinée 260 gr
Pelliculage : Brillant
Feuillet : Impression noir et blanc recto verso
Papier : Offset blanc 80 gr
Nombre de pages : 798

les reliques de pouvoir

ORTALI Céline - 2013-06-10

Les reliques de pouvoir, des pierres dotées d’une puissante magie, ont pendant des siècles assuré la paix. Jusqu’au jour où dévorée d’ambitions, Méroïne la plus jeune membre du Conseil des Six, a trahi les siens conduisant le continent à sa ruine. Suite à sa défaite les reliques furent abandonnées et cachées sur une ^le… Les siècles ont passé et les reliques de pouvoir sont devenues un mythe sauf pour Mégane et son peuple. En ce jour de fête, cette jeune sorcière ne s’attendait pas au vol des reliques, ni à sa rencontre avec le mystérieux Géran. Suite à un sort de protection les reliques de pouvoir furent éparpillées sur le continent. Mégane et Géran, accompagnés de MÏah, l’adolescente magicienne, de Julian, le chevalier des Boucliers d’Or, de Cally, la princesse métamorphe et de Jude, la descendante de Méroïne, durent partir à leur recherche. Ainsi commença la quête qui bouleversera leur vie.

Témoignage de l'auteur

« L’écriture des Reliques de Pouvoir a commencé un jour frileux de février en l’an 2006, j’étais au chômage depuis quelques mois et comme tous mes amis avaient leurs études, je m’ennuyais dans mon petit appart. Donc pour rompre un peu mon ennuie j’ai décidé de ranger un des cartons qui subsistait de mon déménagement. Et c’est de là, de ce carton que tout a commencé. J’y ai retrouvé un cahier de brouillon qui devait dater de mes années collèges et à l’intérieur j’y avais noté des mots comme des noms. Basywou, Dauol R’Ynfao, Escia …etc… ainsi que quelques idées, six pierres magiques, une guilde de voleur, un groupe d’aventurier composé d’une sorcière (magie noire), d’une magicienne (magie blanche), d’un voleur, d’un chevalier, d’une voyante et d’un métamorphe. Et c’est alors que l’histoire a commencé à prendre corps dans mon esprit. Cela m’a pris quatre ans et demi et 15 cahiers grand-forma pour terminer mon livre, sachant qu’entretemps je l’ai relu et modifier un nombre incalculable de fois jusqu’à atteindre les presque 800 pages.Voilà en ce qui concerne la partie écriture, pour la partie impression, ça a été plus une question de motivation que d’imagination ou de travail. Bien sûr je ne parle pas de la mise en page, ni de la couverture (parce que ça, ça a été du travail). Non je parle de l’impression elle-même. Au début je n’avais pas l’intention de l’imprimer en si grand nombre, je n’avais même pas l’intention de le faire lire à quelqu’un (sinon vous pouvez être sûr que je me serais moins lâcher sur les « scènes romantiques » entre Géran et Mégane), mais bien sûr j’étais tellement fan de cette histoire et de ses personnages que j’en parlais autour de moi, tout d’abord à ma famille, puis à mes amis et tous m’ont dit la même chose, « il faut que tu me le fasses lire ». Et sous la pression j’ai fini par me dire pourquoi pas, après tout ça me fait tellement de bien de l’écrire et j’adore tellement cette histoire quand je la relire, que peut être elle plairait à d’autre.C’est comme ça que j’ai commencé à regarder, mais le hic c’est que je ne m’y connaissais pas du tout au monde l’édition et puis il y avait la peur de me faire voler mon « bébé » (même si c’est pas un Best-Seller personne n’est à l’abri), je me suis donc tourné vers l’autoédition et j’ai cherché sur internet des sociétés spécialisées dans ce domaine et c’est comme ça que j’ai découvert Copy-Média. Moi qui n’y connaissait rien j’ai reçu une aide, une écoute et des conseils très précis et toujours dans le meilleurs intérêt de mon projet. Mon conseiller Mr Laborie a su apporté des réponses précises à mes questions et il a fait preuve de beaucoup de compréhensions et de patiences. Notamment en ce qui concerne le temps qu’il m’a fallut pour corriger et refaire la mise en page pour l’impression, faire la couverture. Ça n’a pas été facile mais au bout de deux ans, j’y suis parvenue et le voilà en papier et en encre. L’émotion ressentie à la réception du livre de vérification est indescriptible. Jamais je n’aurais imaginé avoir un jour mon nom sur un livre, moi qui n’ai commencé réellement à lire qu’à l’âge de 19 ans et qui au collège, était le désespoir des professeurs pour mon absence d’orthographe. Je n’aurait jamais pu réaliser ce rêve sans Copy-Média qui a fait un travail merveilleux au niveau de l’impression, car le livre a un rendu digne de ceux que l’on achète en librairie. Merci à Mr Laborie et à Copy-Média. »