142 x 210 - Brillant

Papier bouffant ivoire 70gr

Format :
Couverture : Impression noir et blanc recto seul
Papier de couvertures : Carte couchée 250gr
Pelliculage : Brillant
Feuillet : Impression noir et blanc recto verso
Papier : Papier bouffant ivoire 70gr
Nombre de pages : 826

ma renaissance

NOTENNI Didier - 2009-07-02

Didier NOTTENNI, écrivain, artiste peintre contemporain, créateur à l’imagination débordante, est avant tout un autodidacte. Issus d’une modeste famille d’agriculteurs français, immigrés italiens sous Napoléon Bonaparte, familièrement surnommés les « pouilleux de la botte », Didier est né à Lyon en 1955. Son enfance et son adolescence sont partagées entre l’école publique du quartier, et les travaux paternels de maraîchage ; il s’engage dans la marine nationale à l’âge de 21 ans, où il fera finalement carrière. En effet, cherchant sa voie, il effectuera d’abord son service national au sein d’une unité parachutiste de l’armée de terre, puis décidera d’épouser la mer et ses grands espaces immaculés. C’est un parcours étonnant qui conduira tout d’abord cet homme au sein des forces sous-marines nucléaires, qu’il servira fidèlement durant plus d’une décennie, en fervent défenseur de l’arme nucléaire de dissuasion, avant de rejoindre les bâtiments de surface.
Malgré son intégrité et ses compétences reconnues par l’ensemble de ses pairs, il se verra poussé à quitter l’arme sous-marine par une gestion du personnel pour le moins indélicate, traitant les ressources humaines à l’image de biens immobiliers amortis au fil des ans. Ne s’arrêtant pas à d’aussi basses et honteuses pratiques, il se tournera donc logiquement vers les forces navales de surface. Financièrement plus modestes, mais au combien plus nobles, il s’y épanouira en une carrière tout aussi respectable, qu’il nommera lui-même bien plus tard, avec le regard de l’expérience et de la sagesse, « ma Renaissance », donnant lieu à sa première œuvre autobiographique.
Près de six mois de campagne vont lui ouvrir les yeux sur le monde, lui dépoussiérer les idées, modifier et corriger ses opinions ; ne se contentant pas de « mettre du sel dans sa vie », il va voyager, découvrir les autres et leurs cultures. Il va pousser ses tribulations autour du monde, vous invitant à partager, au fil de ses modestes écrits, son enivrant périple.
Ce changement de mode de vie, aux travers d’expériences humaines et professionnelles menées au gré des jours, aux quatre coins du monde, va le pousser à étendre ses activités créatives aux autres formes d’art, passant de l’écrit à l’élaboration de différents projets énergétiques, au dessin, puis à la peinture. Certes, il n’aura pas été le seul à suivre une telle évolution ; mais il aura, à ce jour, su être l’un des rares, à en témoigner de manière juste et objective, signant des esquisses, tantôt « élémentaires », tantôt « restrictives », et surtout des « dénudés », pour obtenir finalement des « nus » à la rigueur stupéfiante.
Point de vengeance en ses écrits, nul violence en ses ébauches, guère plus de satisfaction à remettre en cause une institution militaire, ou encore un Etat, qui l’a nourri, et instruit ; il préfèrera se contenter de vous passer le témoin, tel le maître-compagnon à ses jeunes générations, vous incitant à découvrir votre véritable personnalité au travers des arts.
L’estampille significative de ses travaux « primaires » se résume par le stricte emploi du « noir et blanc », dérivant lentement vers d’autres horizons grâce à des couleurs plus vives, venant se substituer progressivement au « noir » fondamental. Néanmoins, il demeure particulièrement attaché à une exclusivité bi-chromatique qui est sa marque de fabrique ; rares sont ses œuvres à déroger à cette règle.
De nos jours, cet homme simple ne fréquente plus guère le milieu des armes, et des anciens combattants, dont il fait cependant parti. La tranquillité de sa modeste maison du centre de la France, blotti au creux d’une minuscule bourgade campagnarde, lui offre des heures paisibles, employées au service d’œuvres caritatives et de bienfaisances locales.
Il poursuit, au quotidien, peintures et esquisses, s’adonnant, parfois à la rédaction d’ouvrages littéraires visant indifféremment tous les horizons, romans, sciences, recueil de pensées.

Témoignage de l'auteur

A Brest le 18/09/09 Comme suite à votre demande, je vous confirme ma satisfaction pour les prestations, ainsi que le service de livraison particulièrement efficace et rigoureux.
Comme suite à votre demande, je vous confirme ma satisfaction pour les prestations, ainsi que le service de livraison particulièrement efficace et rigoureux.
Didier NOTTENNI, écrivain, artiste peintre contemporain, créateur à l’imagination débordante, est avant tout un autodidacte. Issus d’une modeste famille d’agriculteurs français, immigrés italiens sous Napoléon Bonaparte, familièrement surnommés les « pouilleux de la botte », Didier est né à Lyon en 1955. Son enfance et son adolescence sont partagées entre l’école publique du quartier, et les travaux paternels de maraîchage ; il s’engage dans la marine nationale à l’âge de 21 ans, où il fera finalement carrière. En effet, cherchant sa voie, il effectuera d’abord son service national au sein d’une unité parachutiste de l’armée de terre, puis décidera d’épouser la mer et ses grands espaces immaculés. C’est un parcours étonnant qui conduira tout d’abord cet homme au sein des forces sous-marines nucléaires, qu’il servira fidèlement durant plus d’une décennie, en fervent défenseur de l’arme nucléaire de dissuasion, avant de rejoindre les bâtiments de surface.
Malgré son intégrité et ses compétences reconnues par l’ensemble de ses pairs, il se verra poussé à quitter l’arme sous-marine par une gestion du personnel pour le moins indélicate, traitant les ressources humaines à l’image de biens immobiliers amortis au fil des ans. Ne s’arrêtant pas à d’aussi basses et honteuses pratiques, il se tournera donc logiquement vers les forces navales de surface. Financièrement plus modestes, mais au combien plus nobles, il s’y épanouira en une carrière tout aussi respectable, qu’il nommera lui-même bien plus tard, avec le regard de l’expérience et de la sagesse, « ma Renaissance », donnant lieu à sa première œuvre autobiographique.
Près de six mois de campagne vont lui ouvrir les yeux sur le monde, lui dépoussiérer les idées, modifier et corriger ses opinions ; ne se contentant pas de « mettre du sel dans sa vie », il va voyager, découvrir les autres et leurs cultures. Il va pousser ses tribulations autour du monde, vous invitant à partager, au fil de ses modestes écrits, son enivrant périple.
Ce changement de mode de vie, aux travers d’expériences humaines et professionnelles menées au gré des jours, aux quatre coins du monde, va le pousser à étendre ses activités créatives aux autres formes d’art, passant de l’écrit à l’élaboration de différents projets énergétiques, au dessin, puis à la peinture. Certes, il n’aura pas été le seul à suivre une telle évolution ; mais il aura, à ce jour, su être l’un des rares, à en témoigner de manière juste et objective, signant des esquisses, tantôt « élémentaires », tantôt « restrictives », et surtout des « dénudés », pour obtenir finalement des « nus » à la rigueur stupéfiante.
Point de vengeance en ses écrits, nul violence en ses ébauches, guère plus de satisfaction à remettre en cause une institution militaire, ou encore un Etat, qui l’a nourri, et instruit ; il préfèrera se contenter de vous passer le témoin, tel le maître-compagnon à ses jeunes générations, vous incitant à découvrir votre véritable personnalité au travers des arts.
L’estampille significative de ses travaux « primaires » se résume par le stricte emploi du « noir et blanc », dérivant lentement vers d’autres horizons grâce à des couleurs plus vives, venant se substituer progressivement au « noir » fondamental. Néanmoins, il demeure particulièrement attaché à une exclusivité bi-chromatique qui est sa marque de fabrique ; rares sont ses œuvres à déroger à cette règle.
De nos jours, cet homme simple ne fréquente plus guère le milieu des armes, et des anciens combattants, dont il fait cependant parti. La tranquillité de sa modeste maison du centre de la France, blotti au creux d’une minuscule bourgade campagnarde, lui offre des heures paisibles, employées au service d’œuvres caritatives et de bienfaisances locales.
Il poursuit, au quotidien, peintures et esquisses, s’adonnant, parfois à la rédaction d’ouvrages littéraires visant indifféremment tous les horizons, romans, sciences, recueil de pensées.