Il était une fois un monsieur avec un carton sous le bras qui poussait pour la première fois les portes d’un gros studio de photographie où qu’on fait de la réclame (heu … pardon, on dit de la pub aujourd’hui). Ce n’était autre que Philippe Durand, célèbre artiste stéphanois (si, si je vous le dit, moi!) auquel mon big boss, homme d’affaire averti mais néanmoins amateur d’art tout aussi averti, offreait un carton* pour sa prochaine expo (*une invitation pour les gens qui ne sont pas habitués à ruiner les buffets de vernissages). Mais en parlant de carton, que contenant donc le sien? […]
Je ne vous remercierai jamais assez pour toute votre aide. Je suis très contente du résultat et je sais où me tourner si j’ai de nouvelles impressions à effectuer.